le lac des Confins depuis le bas de la combe de Bellacha
sortie au Bélier des Aravis mais rallongée par une petite traversée des combes des Aravis via une descente au Gollet et une remontée sous la combe de Tardevant. Une belle variante, mais la prochaine fois, il faudra aller jusqu’aux Troncs et le col des Annes pour se faire la traversée intégrale des combes!
Julien dans le haut de la combe du Grand Crêt, sous Tête Pelouse
la seule bonne note et le seul intérêt qu’on aura trouvé aujourd’hui sont que … nous sommes sortis! Cette sensation de monter avec l’intérieur aussi mouillé que l’extérieur n’est vraiment pas terrible. Et cette neige … vraiment pourrie de haut en bas! Bref, aujourd’hui on est sorti
le couloir du Tchadar
la pluie de ce matin à 6h30 à Annecy ne nous a heureusement pas découragé. Au début on ne savait pas trop où aller, alors on est d’abord allé faire un tour du côté du col des Annes et de la Croix d’Almet. Mais la pente ne nous inspirant pas, nous sommes finalement allés aux Confins.
Arrivés aux Confins, direction le Trou de la Mouche, parce que Julien avait déjà fait Tête Pelouse deux jours plus tôt et surtout parce qu’il n’y avait pas une trace: tout le monde allait sur Tête Pelouse, sauf 3 personnes qui sont partis sur le couloir du Milieu.
Arrivés au Trou de la Mouche, grosses interrogations: par où descendre déjà et puis pourquoi pas se faire une petite remontée, oui, mais par où ? Les 3 personnes montées au Milieu ont apparemment traversés Paccaly pour aller au Tchadar, autant profiter de leur trace!
Descente donc dans Paccaly par la rampe sous le Trou de la Mouche. Premiers virages de l’hiver dans la rampe, pas au top, mais une fois dans le couloir de sortie, les réflexes reviennent vite grâce notamment à la bonne neige poudreuse, pas trop lourde. La combe de Paccaly a pas mal reçu le vent, pas mal de pierres sont bien visibles, la traversée n’est donc pas terrible. Heureusement nous retrouvons de la bonne neige dans les pentes au dessus du pied de la montée vers le couloir du Tchadar.
Grâce à la trace, la montée est assez aisée. Arrivés au sommet, le couloir a l’air en top condition. Finalement la neige est certes un peu lourde, mais vue l’époque et l’enneigement faible, c’est quand même pas mauvais, voire bon! Malheureusement après les 6 passages, il n’en reste plus beaucoup pour les suivants!
Le retour aux Confins se fait bien mais dans une neige bien humide.