même si ce Bélier je l’ai déjà fait de maintes fois en trail ou en vtt, il fallait quand même bien que je le fasse un jour avec un dossard! C’est donc maintenant chose faite! Comme je m’y attendais, ça a bien bouchonné sous le col des Mouilles. Mais le parcours, sans passer par la Tête du Danay est vraiment très très roulant. Autant dire qu’une fois au col, la course est déjà plus ou moins pliée. D’autant plus que les parcours roulants ne sont pas trop ma tasse de thé… Je me suis donc rattrapé sur les ravitos bien fournis et nombreux (6 au total sur un parcours de 27km!): je ne devais m’arrêter qu’à un seul, je me suis finalement arrêté sur tous les ravitos! Le point positif étant que je n’ai pour une fois eu aucun coup de moins bien (un peu normal quand on s’arrête à tous les ravitos…)
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Pointe de Merdassier, sous les remontées mécaniques
à l’origine nous étions partis pour faire une combe mais ce matin à Thônes, force est de constater qu’il n’a pas tant neigé que ça en dessous de 1500m. Craignant que le bas des combes soient bien enrochers et les remontées de l’Etale n’ouvrant que demain, nous optons pour la Pointe de Merdassier.
Mais une fois les skis chaussés et 200m de fait, les remontées mécaniques se mettent à tourner et des gens commencent à descendre pleine balle sur la piste des Joux … la loose, on s’est mal renseigné! Mais en fait, seul le bas est ouvert, le télésiège du Belvédère est encore fermé: nous sommes seuls là-haut, la poudreuse nous attend!
Nous faisons une première descente sur la Régine Cavagnoud: premier gavage (même si ça touche un peu). Nous remettons les peaux pour remonter et se faire une deuxième descente. Cette fois-ci dans la noir du Tétras dans la forêt: deuxième gavage! Nous terminons la descente sous le téléski du Laquais non encore dammé. Et là grosse surprise, c’est en super poudre! Bref, une bien bonne matinée poudreuse!
Porte des Aravis, par la combe de la Creuse
première de la saison, c’est pas trop tôt et ça fait du bien! Nous sommes allés aux Confins pour voir à quoi ressemblaient les combes: le bas n’est vraiment pas follichon. Nous avons donc opté pour la Porte des Aravis. Et malgré une trentaine de voitures au parking de Balme, nous nous sommes retrouvés quasi seuls dans la Creuse (sans doute l’effet mouton pour aller dans la combe de Balme ?).
Outre cette solitude, la combe de la Creuse fut une bonne pioche car nous avons trouvé une bonne neige poudreuse avec un bon fond dur sur le haut de la combe. Une fois de retour sur la piste, ça se gâte un peu mais on peut arriver en bas sans trop toucher