Julien, Guillaume et Cédric au sommet du Pan de Rideau, le Trélod, l’Arcalod et le Pécloz en toile de fond
Après le but de l’an dernier et les conditions nivo à priori favorables, nous pensions enfin pouvoir descendre ce Pan de Rideau. Malheureusement, une fois au sommet, ses pentes ne nous ont pas inspirées. A la sortie du petit couloir sous le sommet, nous avons donc filé au Sud en direction du col d’Arclusaz pour trouver des meilleures pentes, certaines étant encore en bonne poudreuse
le lac d’Annecy depuis l’aire de décollage de la Forclaz
et voilà c’est fait! on a fait le tour du lac d’Annecy! Il aurait pu vite s’arrêter avec une frontale pour deux pour monter de nuit au Semnoz (bravo…), un soucis de cale pour moi dans la montée au Semnoz et un soucis de dérailleur pour Julien au col de Leschaux… Mais heureusement tout a tenu, surtout les jambes! Enfin … surtout les miennes, parce que Julien tourne un peu comme un avion … et surtout aux Overstims!
Il faut dire que ce tour n’est pas réellement adapté au vtt. Seule la montée au Semnoz permet de bien rouler, sinon c’est portage, portage et portage! Mais la solitude dans les Bauges, la vue sur le lac d’Annecy depuis le col de la Forclaz et de nouveau la quasi solitude dans la traversée vers les Dents de Lanfon méritent bien tout ça!
Au col de Bluffy, chacun est parti de son côté: Julien au lac, moi à la maison via la route. Le Veyrier et ses singles seront pour une prochaine fois!
le sommet … bonne visu grâce à un bon coup de vent…
sortie au Semnoz qui aurait pu durer plus longtemps mais le mauvais temps en a décidé autrement. J’ai d’abord voulu testé la montée par le chemin du Périmètre: au final la montée est sans doute plus rapide, mais il y a bien plus de poussage que sur le chemin habituel; à refaire quand les conditions ne seront moins lourdes et moins humides et surtout avec plus de kilomètres dans les jambes. J’ai commencé à me faire arrosé 2km sous le sommet, juste avant la sortie de la forêt. J’ai fait un aller/retour rapide au sommet, pris la photo et suis descendu fiça, d’abord par les pistes de ski de fond et la route forestière, puis par la route tout court tellement j’étais trempé…