Col de Balafrasse, col ouest, versant sud

le col Est de Balafrasse

le col Est de Balafrasse

très bonne sortie compte tenues des épisodes pluvieux des jours précédents. Je me suis fait les 2 cols Est et Ouest histoire de rentabiliser la sortie avec rephocage au lac de Peyre, non encore complètement enfoui sous la neige. Sous les 2 cols, cette fine couche de neige quasi inespérée rend la descente très bonne. Plus bas jusqu’au dessus de la bergerie, la neige est encore bonne, légèrement carton. Pour rejoindre le col de la Colombière, il fallait un peu pousser sur les bâtons, mais ça passe sans soucis, vraiment inespéré. Encore merci à Pierre pour sa sortie sur skitour, excellent plan … juste que tous les annéciens ont lu son compte rendu et ce sont retrouvés à Balafrasse ! Heureusement j’étais parti assez tôt !

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Roc des Boeufs, combe Sud

la descente sous les contreforts du Roc des Boeufs

la descente sous les contreforts du Roc des Boeufs

nouvelle petite sortie dans les Bauges avec Céline. Je pensais qu’il ferait quand même meilleur que ça et je ne m’attendais pas autant sentir ce vent de Sud, quoique bien annoncé par météo chamonix. Je me suis arrêté sous les contreforts, préférant ne pas escalader les derniers mètres, des crampons ayant été préférables. Entre hier et aujourd’hui, la neige a quand même pris un sacré coup, elle est globalement plus lourde, mais sous le sommet, c’était quand même de la vraie bonne poudreuse

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Talamarche, combe Nord

Lilian et Julien au Crêt des Tervelles

Lilian et Julien au Crêt des Tervelles

compte tenues des conditions exceptionnelles de ce début de saison, on se devait de faire un itinéraire que l’on ne pourra pas refaire de si tôt. Nous avons donc opté pour Talamarche et son départ à 580m d’altitude ! Et bien nous en a pris ! Aucun de nous n’était allé dans cette combe, mais quel bonheur d’avoir ces lumières et ces couleurs. Et quel bonheur aussi d’être quasi seuls, perdus dans cette combe. Nous avons fait la trace dans la combe dans 40cm de poudreuse, jusqu’à ce qu’un couple vienne nous relayer. La vue depuis le sommet était tout simplement à couper le souffle !
La pente n’est jamais très forte, donc nous n’avons jamais pu prendre assez vitesse pour enchaîner de beaux virages, sauf sur le haut, tout bonnement monstrueux de poudreuse. Mais qu’importe, à Talamarche, l’important n’est pas la descente mais bien cette solitude et ces paysages

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