Col des Porthets, en boucle par le vallon des Fours et l’Aulp de Marlens

Céline à l'Aulp de Marlens avec le Charvin en toile de fond

Céline à l’Aulp de Marlens avec le Charvin en toile de fond

petite sortie rando en semaine, histoire de profiter du beau temps. Ne pouvant pas partir plus tard d’Annecy, nous nous sommes rabattus sur la Savatte pour un col de Tulle ou un col des Porthets. Arrivés sur place, le constat est sans appel: la pente sous le col de Tulle est complètement ravagé par des coulées et des reptations. Sans oublier que la neige a bien bien fondu: il ne reste plus grand chose de skiable (chose qui n’a pourtant pas dérangé une bonne dizaine de skieurs). Nous sommes donc montés vers le col des Porthets. La neige dans la combe Ouest est bien restée à l’ombre et est bien croûtée. Nous avons alors opté pour la bascule dans la combe Sud-Ouest sous le col des Porthets qui a pris un peu plus le soleil. Au final, ce ne fut pas un mauvais choix. La descente n’était pas pire avec une neige humidifiée mais pas encore en soupe.

=> la sortie sur Montagnes d’Annecy

Pointe de Mandallaz, versant sud-ouest

la Mandallaz depuis Champ Tardif

la Mandallaz depuis Champ Tardif

à l’origine on voulait se faire un des couloirs de la Mandallaz. Mais l’entrée étant complètement béton, et vu le nombre qu’on était, seuls quelques uns sont allés dedans: la neige y était paraît-il toute poudreuse. Sinon la descente classique de la Mandallaz se fait globalement dans une neige carton mais en allant chercher des petits coins aux abords de la trace de montée, on peut encore trouver de la bonne neige poudreuse

=> la sortie sur Montagnes d’Annecy

Montagne de Sulens, tour du Sulens par Orsière

Julien dans la descente d'Orsière vers le châlet du Macheux

Julien dans la descente d'Orsière vers le châlet du Macheux

Je voulais me faire une sortie dans les Aravis et en trouvant pas mal de topos entre vttour et utagawa, j’étais bien motivé par ce tour du Sulens. Les topos trouvés passaient par pas mal de chemins, alors je me suis fait un mixte avec départ du Bouchet, montée à Orsière par les Fontanettes, puis col de Plan Bois, sommet de Sulens, col de la Botte et descente par Serraval pour rejoindre le Bouchet. On est donc parti avec Julien sur cet itinéraire.
Dès le départ, première constatation: les chemins sont gras ! La montée au col de l’Epine se passe sans problème. Puis vient la montée vers la Greubaz. Je m’attendais certes à une très grosse montée au dessus de la Ville de Rosset, mais quand même pas à une pente si forte (35% au GPS!). La prochaine on passera par le GR. Bref, grosse suée dans la moiteur de la forêt. Arrivés enfin au Planay pour trouver des pentes plus douce, nous attaquons la descente vers la Greubaz. Mais plus nous avançons, plus nous entendons des coups de feu ! Jusqu’à arriver à 300m du châlet où nous trouvons de la rubalise barrant la route avec un écriteau: balle trap ! Merci de ne prévenir que maintenant … Donc demi tour, retour au Planay pour monter au col du Fer et redescendre à la Greubaz. L’avantage du balle trap aura quand même été de découvrir un petit single sympa pour monter au col de Fer; certes pas très roulant mais très chouette.
La suite du tour est très roulante jusque sur le Freu. La pente est continue et homogène, il faut un peu de cuisse, Julien a toujours celles de la Norvège, quant aux miennes … je ne sais plus où je les avais mises … Après sur le Freu, on a dû pousser pour monter à la Riondaz, en partie à cause des vaches qui ont bien labourer le chemin …
Après une petite descente sur single et une montée à Orsière, nous sommes descendus sur le Macheux. Là encore, les vaches avaient bien labouré le chemin, chose qui rendu la descente un peu technique. Après le Macheux, c’est de la grosse piste à 4×4 jusqu’au col de Plan Bois. A part au châlet au point 1470m après l’Arbarète où nous avons un peu jardiner pour trouver le chemin (merci le GPS!).
Arrivé à Plan Bois, nous avons trouvé l’heure tardive et sommes donc directement rentrés par les Bois de Mont Derrière pour atteindre le col de la Botte. Après le col, l’idée était de prendre l’Attrape-Qui-Peut pour descendre sur Serraval. Sauf qu’on s’est complètement planté ! On a pris un petit single qui descendant directement sur Cernix. Le single était pas plus large que 30cm avec des épingles plus qu’aigües ! Bref descente pas trop roulable. Elle devait être le point d’orgue de la journée, finalement on l’a quasi faite à pied …

=> la sortie sur Montagnes d’Annecy